domingo, agosto 20, 2006


Estas coisas começam a meter um enorme nojo!
Já não se pode acreditar em nada do que a nossa imprensa "livre e plural" noticia.
Parciais, não se inibem de recorrer à mentira para defenderem os interesses de quem lhes paga.
Se não recorrem há mentira, ocultam a verdade dando só uma visão das ocorrências. Assim, quem melhor que os israelitas para confirmarem que os seus ataques indiscriminados sobre populações, tanto na Palestina como no Líbano, são sempre contra perigosos guerrilheiros que se escondem atrás dessas populações. Mesmo sendo verdade, para matar um potencial terrorista, é legítimo massacrar mais 20 ou trinta pessoas que só são culpados de viverem perto do alvo? E mesmo quando só a casa deste é atingida, é justificável que para o assassinar lhe matem a mulher, os filhos, os irmãos, enfim tudo o que viver debaixo do seu tecto?
E quem melhor que os serviços secretos ingleses para justificar esta vaga de prisões ( 23 no total ) de presumíveis terroristas que iriam fazer despenhar uma caterva de aviões sobre ( sobre quem poderia ser, meu Deus? ) a Inglaterra e os Estados Unidos, numa que já foi classificada pela imprensa do costume uma tragédia muito maior que o 11 de Setembro ( boa oportunidade para o recordadr, já estava um pouco esquecido, e numa altura em que Blair e o seu dono Bush vêm a sua popularidade descer a níveis baixíssimos junto dos seus concidadãos. Eu não tenho dúvida que existem terroristas, mas será que é desta forma desumana, vivendo com e fomentando o medo, perseguindo indiscriminadamente e dando cabo da vida de tanta gente só porque são de origem muçulmana? Dos 23 detidos, 1 já foi solto e nenhum ainda foi acusado! Era gente que estava a ser vigiada há muitos meses!! Como milhares de outros no Reino Unido, só porque são muçulmanos!!
Nas nossas "democráticas redacções" as fontes só têm água de um lado. E os conceituados comentadores convidados, frequentam todos os mesmos clubes. O neoliberalismo está bem servido de lacaios. Governos, polícias, jornais, tudo está contaminado. O grande polvo neoliberal estrangula com os seus tentáculos tudo o que se lhe oponha nesta sua guerra contra o Estado Social.
É preciso muita coragem e determinação para lhes dar luta. Eles contam com um poderoso aliado: a indiferença! Por cansaço, ignorância, medo ou outras razões que não descortino há uma apatia insólita da parte daqueles que paulatina e sistemàticamente vão perdendo direitos e qualidade de vida. Alguns muitos até a níveis da indignidade.
Mas é esta a realidade: " Il y a de soleil sur la France
et le reste n'a aucun d'importance..."
Esperemos então que chova! Que venha a tempestade. Depois certamente virá a bonança!

José Peixoto/ Redfish

4 comentários:

Anónimo disse...

Commedia Dell'Arte

E pronto....mais uma cena melodramática um coup de "génie" e os israelitas instigados por Bush e Blair..a célebre dupla BB que se não causasse tanta mossa só nos levaria a rir até às lágrimas...dizia eu que os israelitas,atacaram um país pacífico usando como desculpa o terrorismo( no momento está no top das desculpas favoritas dos senhores da guerra). O que realmente pretendem é dominar as reservas de energia do oriente médio....uma manobra de diversão quando afinal o que queriam era ter um pretexro para atacar a Líbia....afinal o que é o Líbano? o Líbano é apenas mais uma peça no puzzle usado pelas grandes potências para nos atirar areia aos olhos...Bush, que governa um país de imbecis sendo ele próprio o imbecil-mor, Blair que não governa um país de imbecis mas sabe-se lá porquê tem passado entre os pingos da chuva e finalmente esse nação valente e imortal, em que o único bom governante, Ytzhak Rabin, foi morto (e por um israelita)...digamos que se trata de um cocktail letal... e tudo isto porquê? por causa das reservas de um produto que só vai durar mais 50 anos?

Anónimo disse...

Fabriquez vous-mêmes votre bombe au TATP
par Thomas C. Greene*

Le complot terroriste déjoué le 10 août 2006 par le gouvernement Blair n’a guère de crédibilité. Non sans humour, le romancier Tom Greene imagine les difficultés d’un jihadiste pour embarquer discrétement son matériel à bord d’un avion de ligne et s’isoler trois heures dans les toilettes pour fabriquer son explosif.
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21 août 2006

Depuis
Washington DC (États-Unis)

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Thèmes
Action secrète : renversement de gouvernement, guerre psychologique...

Fabriquer une quantité suffisante de TATP pour faire exploser un avion en vol n’est pas aussi simple que cela a été présenté par la presse dominante lorsque les autorités britanniques ont révélé le prétendu « complot du 10 août ». Il ne suffit pas de s’éclipser aux toilettes et de mélanger deux liquides inoffensifs.

Pour commencer, vous devez vous procurer une quantité suffisante de peroxyde d’hydrogène et ayant la bonne concentration. Ce n’est pas un produit facile à se procurer à l’état pur. Bien sûr, vous pouvez en acheter dans les drogueries sous forme de décolorant pour cheveux. Mais ces solutions contiennent 97 % d’eau. Vous allez donc devoir faire bouillir le liquide pour extraire l’eau et concentrer le peroxyde. Vous risquez par la même occasion de mettre le feu à votre laboratoire improvisé et de tout perdre avant même qu’un seul « suppôt du Grand Satan » n’ait péri.

Mais bon, mettons que vous avez trouvé un moyen de vous procurer du peroxyde d’hydrogène dans la concentration adéquate ou que vous avez pu en fabriquer en faisant bouillir du décolorant sans que votre cuisine ait explosé. Très bien. Il vous reste à vous procurer de l’acétone et de l’acide sulfurique. Ces ingrédients sont nettement plus faciles à acheter dans le commerce.

Passons aux choses sérieuses. Prenez votre peroxyde d’hydrogène concentré, votre acétone et votre acide sulfurique, dosez soigneusement chaque liquide et versez le dans des bouteilles de soda afin de les passer discrètement par la douane et de les introduire à bord de l’avion. Vous pouvez gagner de la place en mélangeant dans une même bouteille le peroxyde d’hydrogène et l’acétone - mais dans ce cas il est impératif de garder le liquide au frais. Vous allez donc devoir transporter, dans vos bagages à main, (outre votre exemplaire du Coran dédicacé par Oussama Ben Laden en personne), plusieurs packs de glace (à transporter dans une glacière ou un emballage isotherme en polystyrène), ainsi qu’un thermomètre, une grande éprouvette à bec, une baguette mélangeur en verre et une pipette en verre, jaugée. Vous allez en avoir besoin.

Je vous conseille vivement de prendre un billet de première classe et de commander du champagne dès votre arrivée à bord. Si vous voyagez avec une compagnie aérienne correcte, ils devraient vous fournir votre bouteille dans un seau à glace. Le seau et la glace vous seront utile - en plus des packs de froid et de l’emballage isotherme - pour maintenir votre mélange à une température suffisamment basse pour qu’il ne prenne pas feu dans les toilettes de l’avion avant d’avoir atteint la concentration suffisante pour devenir de l’explosif.

Une fois que l’avion a décollé et est en route vers les États-Unis, ne perdez pas de temps, il vous faut plusieurs heures pour fabriquer l’explosif. Transportez discrètement tout votre attirail dans les toilettes. Vous devrez probablement faire plusieurs voyages pour ne pas attirer l’attention du personnel de bord. Une fois que vous avez tout rassemblé, enfermez-vous dans les toilettes, placez l’éprouvette graduée dans le bain de refroidissement (le seau à glace du champagne) et versez-y doucement le mélange acétone-peroxyde d’hydrogène contenu dans la première bouteille. Placez le thermomètre dans l’éprouvette et, à l’aide de la pipette, commencez à y ajouter, goutte à goutte, l’acide sulfurique contenu dans la deuxième bouteille. Prévoyez un masque respiratoire et des lunettes de piscine car les vapeurs dégagées sont corrosives et vous avez besoin de votre autre main pour touiller en permanence votre mélange. Ne laissez pas votre vue se brouiller car vous devez garder un œil constant sur le thermomètre. Au fur et à mesure que vous ajoutez l’acide, la mixture va s’échauffer et si elle devient trop chaude, vous vous retrouverez avec un explosif de faible puissance. Au pire, si elle devient vraiment trop chaude, elle risque de prendre feu ou d’exploser prématurément et de vous tuer, vous, en faisant juste un peu de dégâts dans les toilettes de l’avion, c’est tout. Ce n’était pas le but de l’opération et vous risquez de vous voir priver de vos 70 vierges quand vous arriverez au paradis des martyrs.

Après quelques heures de touillage et d’ajout d’acide goutte à goutte, vous obtenez une quantité de TATP suffisante pour mener à bien votre projet - à condition bien sûr que les vapeurs acides dans cet espace confiné ne vous aient pas suffoqué, qu’elles n’aient pas attiré l’attention des autres passagers ou du personnel de bord et qu’aucun passager ne soit venu tambouriner contre la porte des WC... Si rien de tout cela ne s’est produit, c’est un vrai miracle (preuve que vous êtes vraiment un combattant de Dieu) et il ne vous reste plus qu’à laisser sécher votre mélange pendant environ deux heures et demie. Ensuite il n’y a plus qu’à le détonner, ce qui est relativement simple à faire à l’aide d’un petit appareil électrique quelconque.

Comme vous pouvez le constater, fabriquer du TATP à bord d’un avion est à la portée du premier jihadiste venu. Il faut simplement s’assurer qu’on en fabrique en quantité suffisante pour provoquer la destruction de l’avion et qu’on a pris les précautions nécessaires pour obtenir une qualité suffisante et éviter une combustion prématurée. On ne peut pas faire l’impasse sur la qualité quand on veut commettre « un meurtre de masse à une échelle inimaginable » comme l’affirme Paul Stephenson, chef-adjoint de la police britannique. Car même si vous pouvez toujours obtenir un cocktail explosif en mélangeant au jugé les ingrédients, il y a peu de chances pour qu’il fasse suffisamment de dégâts pour détruire l’avion. Au mieux, vous casserez quelques hublots et vous tuerez quelques croisés infidèles - victimes des débris volants quand la cabine sera subitement dépressurisée. Mais c’est à peu près tout ce que vous arriverez à obtenir, même dans les meilleures conditions possibles.

Thomas C. Greene
Romancier états-unien.

Anónimo disse...

Bem vinda, querida Dama, de férias regressada mas com a verve em dia e a pontaria afinada. Se o meu francês meio esquecido não me enganou e o amigo T. Greene sabe o que está a dizer, então mais um interessante capítulo desta tragi-comédia sangrenta encenada pela dupla maravilha e pelos seus muitos lacaios. O nosso J.M. Fernandes deve roer-se de inveja por não ter sido ele o cérebro da questão.
E que me dizes linda Dama, da algarviada que se faz, "grande escândalo" dizem eles, sobre o suposto deslize - entenda-se vigarice - que os comunas teriam tido na câmara de Setúbal? Nunca vi tantos psdocas e cêdeesses e pêesses satisfeitos com uma notícia destas. Afinal não são só eles, que alegria!! Só faltava agora, apanharem alguem do BE a, sei lá, roubar chupa-chupas no café da AR.
E as obras do Camões? Que dizes? Um aborto ao fim de 6 meses!! E há quem goste!!!

Escreve sempre

Rdefish

Anónimo disse...

Pois peixinho vermelho....só por seres vermelho já podes ser metido nas histórias das reformas compulsivas da Câmara de Setúbal...ainda por cima diz-se que foi tudo com a conivência dos trabalhadores...quiçá não teria a câmara de Setúbal funcionários a mais? quiçá não terão os PS e PSD esgaravatado tanto...mas tanto..que descobriram algo podre no reino da Dinamarca, afinal a Cãmara de Setúbal pode já ter sido invadida por aquela raça de lendeas ortodoxas, descoberta pelo camarada Luís Sepúlveda, e que provém do cruzamento da pulga dissidente checa com o piolho stalinista (vide: Os Piores Contos de Grimm)